Printemps arabe, souffle d'espoir
Ils se sont révoltés, se sont battus pour leur liberté et nous les abandonnons.
Monde cruel, nous jouions dans leur pays du temps de la dictature et maintenant qu'ils ont conquis avec un grand courage, ni violence, ni agressivité, leur liberté, nous ne voyageons que trop peu dans leur pays.
Pourquoi cette indifférence ? pourquoi ce manque de solidarité ?
Ne visitions nous leur pays que parce qu'ils étaient soumis ? que par intérêt personnel ?
Nos devises les aider à améliorer leur pouvoir d'achat même s'il y a à redire sur les impacts environnementaux de ces hôtels de tourisme de masse , ils avaient un travail, ils pouvaient faire vivre leur famille. Le touriste apportait des devises non négligeables.
Depuis février tout a changé, très peu de touristes, les hôteliers, si l'été n'est pas bon en fréquentation, devront licencier, voire fermer leurs hôtels, et nous verrons apparaitre une nouvelle pauvreté qui génèrera de l'immigration car le mythe d'une vie meilleure en Europe n'a pas changé malgré....
Dénonçons ceux qui profitaient des faveurs de la dictature, dénonçons ceux qui exploitaient leurs employés, l'eau, l'énergie sans parcimonie.
Espérons que cela va ouvrir une porte sur un tourisme plus responsable, des hôtels plus précautionneux de leurs salariés, de leur environnement, de leur économie.Une nouvelle conscience du développement durable.
Ne les abandonnons pas, il n'y a pas plus de danger à Paris qu'à Djerba ou qu'au Caire nous le savons tous, pourquoi ces freins irrationnels ?
voyageons consciencieux pour voyager responsable
Apportons leur autre chose que notre curiosité ou que notre besoin de soleil quand il n'y en a pas chez nous.
Développons nous aussi un autre tourisme, un tourisme utile, un tourisme d'échange.
Ils se sont révoltés, se sont battus pour leur liberté et nous les abandonnons.
Monde cruel, nous jouions dans leur pays du temps de la dictature et maintenant qu'ils ont conquis avec un grand courage, ni violence, ni agressivité, leur liberté, nous ne voyageons que trop peu dans leur pays.
Pourquoi cette indifférence ? pourquoi ce manque de solidarité ?
Ne visitions nous leur pays que parce qu'ils étaient soumis ? que par intérêt personnel ?
Nos devises les aider à améliorer leur pouvoir d'achat même s'il y a à redire sur les impacts environnementaux de ces hôtels de tourisme de masse , ils avaient un travail, ils pouvaient faire vivre leur famille. Le touriste apportait des devises non négligeables.
Depuis février tout a changé, très peu de touristes, les hôteliers, si l'été n'est pas bon en fréquentation, devront licencier, voire fermer leurs hôtels, et nous verrons apparaitre une nouvelle pauvreté qui génèrera de l'immigration car le mythe d'une vie meilleure en Europe n'a pas changé malgré....
Dénonçons ceux qui profitaient des faveurs de la dictature, dénonçons ceux qui exploitaient leurs employés, l'eau, l'énergie sans parcimonie.
Espérons que cela va ouvrir une porte sur un tourisme plus responsable, des hôtels plus précautionneux de leurs salariés, de leur environnement, de leur économie.Une nouvelle conscience du développement durable.
Ne les abandonnons pas, il n'y a pas plus de danger à Paris qu'à Djerba ou qu'au Caire nous le savons tous, pourquoi ces freins irrationnels ?
voyageons consciencieux pour voyager responsable
Apportons leur autre chose que notre curiosité ou que notre besoin de soleil quand il n'y en a pas chez nous.
Développons nous aussi un autre tourisme, un tourisme utile, un tourisme d'échange.
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